Bonjour à tous
Cette semaine, Ciné + Classic programmera mardi 29 juillet le film de Elliot Silverstein: Un homme nommé cheval réalisé en 1970. À cette époque, la mode est définitivement passée à autres choses qu'aux Westerns. Et ceux qui osent encore aborder le genre le font en se plaisant à dézinguer le mythe! Leone, Peckinpah ou encore Arthur Penn taillèrent bien des croupières aux héros du grand ouest dont la force virile servait davantage à faire le mal qu'à établir vraiment un ordre dans ce vaste territoire conquis aux Indiens - Peaux-rouges.
C'est donc la même année que Soldat Bleu (Ralph Nelson) et que Little Big Man (Arthur Penn) que sortit Un homme nommé cheval sur les écrans. Réalisé par Elliot Silverstein à qui on devait notamment un autre western, Cat Balou, en 1965, le film prend un angle très particulier pour présenter les barbares indiens. Si Arthur Penn prit le parti de l'humour et de la dérision, si Nelson montrait la sauvagerie blanche dans les massacres perpétrés par l'armée américaine sur les Indiens, Silverstein semble n'épargner personne dans son début de film. Et c'est bien l'intérêt qu'il y a à voir ce film, reposant sur une histoire de Dorothy Johnson - qui fut également à l'origine du film L'homme qui tua Liberty Valance, excusez du peu: comment suivre des personnages pour lesquels nous n'avons a priori aucune empathie.
Cette semaine, Ciné + Classic programmera mardi 29 juillet le film de Elliot Silverstein: Un homme nommé cheval réalisé en 1970. À cette époque, la mode est définitivement passée à autres choses qu'aux Westerns. Et ceux qui osent encore aborder le genre le font en se plaisant à dézinguer le mythe! Leone, Peckinpah ou encore Arthur Penn taillèrent bien des croupières aux héros du grand ouest dont la force virile servait davantage à faire le mal qu'à établir vraiment un ordre dans ce vaste territoire conquis aux Indiens - Peaux-rouges.
C'est donc la même année que Soldat Bleu (Ralph Nelson) et que Little Big Man (Arthur Penn) que sortit Un homme nommé cheval sur les écrans. Réalisé par Elliot Silverstein à qui on devait notamment un autre western, Cat Balou, en 1965, le film prend un angle très particulier pour présenter les barbares indiens. Si Arthur Penn prit le parti de l'humour et de la dérision, si Nelson montrait la sauvagerie blanche dans les massacres perpétrés par l'armée américaine sur les Indiens, Silverstein semble n'épargner personne dans son début de film. Et c'est bien l'intérêt qu'il y a à voir ce film, reposant sur une histoire de Dorothy Johnson - qui fut également à l'origine du film L'homme qui tua Liberty Valance, excusez du peu: comment suivre des personnages pour lesquels nous n'avons a priori aucune empathie.