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lundi 2 octobre 2017

Lumière 2017 - Documentaire sur Carlo Di Palma: un regard sur l'Italie

Bonjour à tous,

Le festival Lumière, comme chaque année, propose des documentaires consacrés à ceux qui permettent aux cinéastes d'obtenir les images, les couleurs et les contrastes de leurs rêves. Cette année, c'est donc autour du grand chef opérateur italien Carlo Di Palma qu'un documentaire sera proposé le Vendredi 20 octobre 2017 à 11h, à l'Institut Lumière (Salle 2 Villa)
Intitulé De l'eau et du sucre, Carlo Di Palma, les couleurs de la vie et réalisé par Fariborz Kamkari, ce documentaire plonge pendant 1h30  le spectateur dans l'Italie de la fin de la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la carrière de

dimanche 25 septembre 2016

Lumière 2016: "Sciuscià 70" ou le retour vers le néo-réalisme italien.

Bonjour à tous

Le Dimanche 9 octobre 2016 sera programmé en Avant Première le documentaire Sciuscià 70 de Mimmo Verdesca à l'Institut Lumière (salle 2 - Villa). Ce film revient sur l'œuvre de Vittorio De Sica sorti donc en 1946 et Oscar du meilleur film étranger.

Comment expliquer, avec un tel prix, que ce film ait été finalement peu récompensé en salle? Le sujet peut-être, celui d'enfants des rues dans l'Italie de l'immédiate après-guerre. Mais d'autres films ont traité ce sujet avec davantage de succès comme Allemagne, année zéro d'un autre Italien, Roberto Rossellini, en 1945. Peut-être que le public italien était prêt à accepter de voir des orphelins ailleurs que dans son propre pays.
Le succès n'eut peut-être pas eu la chance de se trouver ensuite puisque le film de Vittorio De Sica fut

vendredi 28 novembre 2014

"Le Pigeon", l'exagération pour un tableau tout en nuance de l'Italie des années 50

Bonjour à tous

Mario Monicelli a excellé dans ce qu'on allait appeler la comédie italienne et qui fit du cinéma de la Péninsule un modèle pour tant de cinéastes.
Avec Le pigeon, Monicelli réalisait en 1958 certainement son premier chef-d'œuvre, considéré comme une des plus grandes comédies du 7ème art par certains, et qui témoigne pourtant de la situation extrêmement contrastée de la société italienne de ces années d'après guerre, des ces années d'après "néoréalisme".

Parodie, pastiche, farce
De nombreuses analyses du film rappellent qu'il fut largement inspiré du film de Jules Dassin Du rififi chez les hommes, film noir présentant

mercredi 27 août 2014

Du cinéma italien pour la rentrée 2014 de l'Institut Lumière

Bonjour,

Si vous êtes de Lyon, ou pas loin, ou que vous aimez le cinéma dans toute sa diversité, l'institut Lumière n'est pas seulement l'organisateur du Festival Lumière. Toute l'année, c'est une programmation exigeante, avec des thématiques, des focus, des conférences et des rencontres avec des cinéastes, des journalistes ou des spécialistes de cinéma.

Ainsi, à l'occasion de la rentrée de septembre 2014, c'est le cinéma italien qui est mis à l'honneur, celui des années 1970, avec des films qui ont marqué certainement la période la plus intéressante pour ce pays avec des réalisateurs à la fois drôles et féroces, et en tout cas extrêmement critiques sur la société italienne, sa corruption, son conservatisme religieux, sa mafia et tous ses autres maux. Cinéma engagé de cinéastes majeurs de la cinématographie mondiale, ce cinéma italien des années 1970 constituait en quelque sorte l'apogée du 7ème art de la péninsule qui allait être suivi d'un long retrait de la production italienne, du moins dans son influence sur les autres productions et assurément dans sa qualité. C'est parce que, tel le phénix renaissant de ses cendres, le cinéma italien retrouve aujourd'hui petit-à-petit de la vigueur et sa force contestatrice d'antan que la redécouverte de ce cinéma des années glorieuses est aussi réjouissante, avec un message, hélas, toujours autant d'actualité!

Et cela commence fort dès vendredi 29 août avec la soirée d'ouverture de la programmation présentée par Fabrice Calzettoni, responsable du service pédagogique de l'Institut Lumière et suivie de la projection de Nous nous sommes tant aimés d'Ettore Scola.

Cette soirée permettra de découvrir quelques extraits des films programmés avant le festival. Les italiens bien sûr (Mes chers amis, Affreux sales et méchants ou encore Au nom du peuple italien et bien d'autres encore), mais aussi quelques grands chefs-d'œuvre du cinéma avec La chienne de Renoir, Le jour se lève de Carné, L'homme qui tua Liberty Valance de Ford et La mort aux trousses d'Hitchock.

C'est également un focus sur Jane Campion, dernière présidente du Jury du Festival de Cannes et à ce jour, unique réalisatrice honorée par la Palme d'Or, qui sera offert aux spectateurs, avec ni plus ni moins que 5 films en deux jours, du 19 au 20 septembre, tous présentés par le critique de cinéma de Positif Michel Ciment. Cette rétro se conclura bien évidemment par la palme d'or La leçon de piano.

Et comme une mise en bouche avant le Festival qui honorera Pedro Almodovar, deux de ses films seront projetés les jeudi 18 et 25 septembre, Attache moi le 18, présenté par Thierry Frémaux, directeur du Festival Lumière, et La mauvaise éducation le 25. Cette séance sera précédée d'une ciné-conférence animée par Fabrice Calzettoni.

Pour en savoir davantage sur la programmation en plus de ce qui est annoncé ici, rendez-vous sur www.institut-lumiere.org, comme par exemple la projection de Lucie Aubrac de Claude Berri, tourné à Lyon et projeté à l'occasion des 70 ans de la libération de la ville, ou encore l'invitation faite à Dominique BESNEHARD, personnalité incontournable du cinéma français.


Informations et réservations des places sur www.institut-lumiere.org
ou par téléphone au 04 78 78 18 95.

À très bientôt
Lionel Lacour






jeudi 29 mai 2014

Lumière 2018: "Les Camarades" de Monicelli: une vision de la lutte sociale plongée dans l'Italie des années 1960

Bonjour à tous

Mercredi 17 octobre à 20h15, dans la salle 2 de l'Institut Lumiière, sera projeté le film Les camarades de Mario Monicelli, en présence de Lorenzo Codelli, historien du cinéma et directeur de la Cineteca del Friuli.

Le cinéaste italien est connu pour ses comédies avec notamment le beau Marcello Mastroianni.
Pourtant, dans Les camarades, il plonge le spectateur dans l'Italie du Nord de la fin du XIXème siècle, à cette époque où les luttes sociales partaient des usines pour travailler moins... de 12h/jour.

Une reconstitution de l'Italie industrielle qui devait rappeler aux Italiens que la lutte n'est pas finie.




Vous pouvez découvrir en image une analyse de ce film:


Les camarades
Mercredi 17 octobre - 20h15 - Salle 2 Institut Lumière
Réservation



À très bientôt
Lionel Lacour

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