jeudi 11 septembre 2025

CinéVisit, un exemple en image!

 

Bonjour à tous

CinéVisit est ce projet d'application en ciné-tourisme destiné à ceux qui veulent découvrir les sites touristiques grâce aux films qui les ont montrés.

Pour financer cette application, nous avons bénéficié de le subvention "émergence" de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de l'accompagnement de NovaCité de la CCI de Lyon.

Vous pouvez également participer à la campagne de crowdfunding en cliquant ici : CinéVisit Ulule

Vous pourrez vivre par exemple cette expérience rue du Premier film. Vous rendre rue du Premier Film, devant ce qui fut l'usine Lumière devenue la salle du Hangar de l'Institut Lumière, et visionner sur votre téléphone le tout premier film de l'Histoire du Cinéma.



Vous pourrez même pénétrer à l'intérieur de ce hangar aux heures d'ouverture et pourquoi pas réserver une place de cinéma car l'Institut Lumière c'est aussi une cinémathèque.
À partir de la contribution "Climax" vous pourrez même obtenir des places pour le Festival Lumière 2026, dans cette salle ou ailleurs. Et bien plus encore pour les contributions supérieures!
Alors n'hésitez pas à participer à cette collecte et même à la partager!

Alors n'hésitez pas! Participez à CinéVisit Ulule et partagez ce lien à tous ceux qui comme vous, aiment des expériences mêlant histoire, cinéma et culture!

Lionel Lacour







vendredi 5 septembre 2025

CinéVisit, l'appli de ciné-tourisme: ce sera pour bientôt grâce à vous!

 Bonjour à tous

Cela fait des années que je travaille sur ce projet d'application en ciné-tourisme.


Après plusieurs rencontres avec des partenaires, collectivités territoriales, entreprises de cinéma, développeurs, le projet CinéVisit va enfin aboutir!

Quelle joie!

Soutenu par Novacité et la CCI de Lyon, CinéVisit a reçu cet été la subvention "Emergence" du programme Startup & Go de la région Auvernge-Rhône-Alpes.

Depuis le 4 septembre, le projet avance un peu plus encore avec une campagne de crowdfunding menée avec Ulule: https://fr.ulule.com/cinevisit-cine-tourisme/ 

Vous pourrez ainsi découvrir le projet entier de cette application et contribuer à la hauteur de vos possibilités pour que CinéVisit puisse proposer des balades cinématographiques dans toute la France, et ensuite au-delà des frontières hexagonales.

Ces balades cinématographiques permettront de se rendre sur les lieux de tournage des films, de voir les extraits de ces films à l'entroit même où ils ont été réalisés. Mais cela ne s'arrête pas là! Vous pourrez ensuite jouer dans un quiz, à chaque étape du parcours géolocalisé, et découvrir les merveilles de la ville grâce au cinéma.

Une envie de (re)voir le film? Vous pourrez récupérer le lien VOD du film et le voir chez vous, tranquillement, et revivre l'émotion cinématographique et touristique après votre voyage.

Vous voulez partager votre visite cinématographique avec vos proches? Vous pourrez prendre des selfies avec un sticker "CinéVisit" et les envoyer sur vos réseaux sociaux préférés!

Voilà tout ce que permettra CinéVisit et encore plein d'autres choses!!!

Alors n'hésitez pas! Si vous souhaitez que CinéVisit existe rapidement, c'est-à-dire dès le premier trimestre 2026, alors vous pouvez y contribuer!

https://fr.ulule.com/cinevisit-cine-tourisme/

Je vous dis à très bientôt!

Lionel Lacour, fondateur de Cinésium et désormais, de CinéVisit!





mardi 19 avril 2022

La France des Années 30 vue par son cinéma


Bonjour à tous, 

Mardi 12 avril 2022, je donnais une conférence à l'Institut Lumière sur la France des Années 30 vues par le cinéma.

En voici la retranscription.


Certains pensent que nous vivons une situation économique et politique assez proche des années 30 : crise économique, montée de l’antisémitisme et menaces extérieures par des pays belliqueux. Est-ce que cette situation des années 30 qui a conduit à la guerre s’observait dans les films français ? Et si oui comment ?

 

mercredi 6 octobre 2021

Lumière 2021 - Quand certains "cartoons" furent bannis par Hollywood

 

Bonjour à tous

Après le documentaire sur l'histoire de l'animation française, le festival Lumière programme le dimanche 17 octobre un autre documentaire sur cet autre cinéma que représentent les dessins animés. Dans Cartoon bannis, Michel Lerokourez évoque la production américaine des courts métrages qui ont fait la réputation du savoir faire américain. 

Rappelant l'origine française de l'animation, le documentariste montre combien le cinéma américain et les studios hollywoodiens ont compris tout l'intérêt de ce genre cinématographique pour des spectateurs avides de spectacles originaux, courts et en préambule des longs métrages. 

Les moins jeunes se feront alors un plaisir de redécouvrir à la fois des personnages mythiques comme Felix le chat, Betty Boop ou Woody Wood Pecker, mais également des noms qui étaient synonymes de dessins-animés, de Walt Disney à Walter Lanz en passant par la doublette Hanna et Barbera.

Ce que Michel Lerokourez met cependant en avant, au-delà de cette myriade de créateurs et producteurs de "cartoons", c'est que certains d'entre eux reprenaient les clichés racistes ou antisémites de l'époque. Les noirs caricaturés et réduits souvent à des pratiques cannibales ont peuplé l'imaginaire des Américains. Le plus intéressant est pourtant ce que rappelle le réalisateur. En effet, certains de ces cartoons ont été jugés rapidement comme racistes, surtout dans l'immédiate après seconde guerre mondiale. Si bien que certains d'entre eux ont dû être corrigés, amputés voire simplement supprimés du catalogue du studio. 

Cette recherche en traces racistes sous toutes ses formes continue aujourd'hui comme le rappelle Michel Lerokourez, notamment dans les films Disney de longs métrages. Mais le spectateur comprend rapidement que le procès en racisme anti-asiatique pour les chats siamois de La belle et le clochard relève d'une accusation bien ridicule contrairement à la représentation des noirs avec un os dans les cheveux des multiples cartoons, quelques soient les studio de production.

Le documentaire balaye dont les diverses thématiques couvertes par les réalisateurs de cartoons jusqu'à la fin des années 1940 y compris la propagande anti-nazie et nippone, faisant aujourd'hui débat et étant frappés de bannissement de la part des grand studios mais aussi des chaînes de télévision. Plus que jamais, Michel Lerokourez rappelle que le cinéma d'animation s'adresse aux adultes autant qu'aux enfants et qu'il peut être tout autant subversif que porteur de clichés, pour le meilleur comme pour le pire. S'inscrivant dans une période de l'histoire dont certains aspects sont aujourd'hui condamnés, les cartoons n'en demeurent pas moins le témoignage des années 20 aux années 40, témoignage tant de la société américaine que du foisonnement créatif hollywoodien.

DIMANCHE 17 OCTOBRE - 14H15 - Institut Lumière Salle 2

Cartoon Bannis de Michel Lerokourez (1h01)

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