Bonjour à tous
L’Institut
Lumière accueille le jeudi 29 novembre à 19h, l’avant-première de L’Homme qui
rit de Jean-Pierre Améris, en présence du réalisateur lyonnais d'origine.
Après Les
Emotifs anonymes et Je
m'appelle Elisabeth, les spectateurs pourront découvrir, avant sa sortie à
Noël, cette adaptation très attendue de Victor Hugo avec Gérard Depardieu,
Marc-André Grondin, Christa Théret et Emmanuelle Seigner.
Présentation avant la projection et discussion avec le public après le film.
Présentation avant la projection et discussion avec le public après le film.
Avant-première : L’Homme qui
rit de Jean-Pierre Améris (1h36)
Jeudi 29
novembre à 19h à l’Institut Lumière
Sortie en
salle mercredi 26 décembre
D’après une adaptation du roman de Victor Hugo :
L’Homme qui rit a été écrit au 19ème siècle. Victor Hugo
était alors contraint à l’exil
politique dans les îles Anglo-Normandes. Le roman a déjà été porté à l’écran à trois
reprises. L’adaptation la plus connue reste la version muette de Paul Léni, en
1928.
Synopsis :
L’Homme qui rit de
Jean-Pierre Améris
(Fr, 2012, 1h33, couleur, avec Gérard Dépardieu, Emmanuelle Seigner)
(Fr, 2012, 1h33, couleur, avec Gérard Dépardieu, Emmanuelle Seigner)
En pleine tourmente hivernale,
Ursus, un forain haut en couleurs, recueille dans sa roulotte deux orphelins
perdus dans la tempête : Gwynplaine un jeune garçon au visage traversé par un
horrible sourire scarifié et Déa une fillette aveugle.
Quinze années plus tard, les voilà
sillonnant ensemble le pays. Partout, on demande à voir “L’Homme qui rit”.
Gwynplaine, devenu adulte se donne en spectacle et émeut les
foules.
Ce succès ouvre au jeune homme les
portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui
l’aient toujours aimé pour ce qu’il est : Déa et
Ursus.
A l’origine de ce projet un rêve
d’enfant :
En novembre 1971, était diffusé à
la télévision française un feuilleton, en trois épisodes, tiré du célèbre roman
de Victor Hugo, “L’Homme qui rit”. Parmi les téléspectateurs, un petit garçon de
10 ans sera fortement marqué : Jean-Pierre Améris. Plus encore lorsque cinq
années plus tard, il lira le roman. « Je
faisais deux mètres de haut. Donc j’étais attiré par les histoires de monstre
[…]. Je m’identifiais à chacun d’eux. ». Il lui aura fallu quelques années
et quelques films, pour oser enfin s’attaquer à Victor Hugo et creuser dans les
racines ses peurs d’adolescent.
C’est donc avant tout l’histoire
de Gwynplaine que Jean-Pierre Améris a voulu raconter : Celle d’un adolescent
hors normes.
Autour du film :
- L’Homme qui rit est le douzième film de Jean-Pïerre Améris. Tous ont en
commun de mettre en lumière des exclus. « C’est le sens que ça a, pour moi, de faire
du cinéma. »
- L’histoire originale se passe au
XVIIème siècle en Angleterre. Mais le cinéaste a écarté tout repère
spatio-temporel précis, car « C’est
l’absolue éternité de Victor Hugo. Ce qui était valable en 1869 est
malheureusement valable en 2012. »
- C’est le personnage de Gwynplaine qui est à
l’origine du personnage du Joker, dans les comics Batman.
- Dans Le Dahlia Noir, Brian De Palma, utilise
des extraits de la version muette de L’Homme qui rit (Paul Leni,
1928)
- L’univers du film a été créé de
toutes pièces. Aussi bien le champ de foire, le château que le bord du fleuve
ont été crées et tournés en studio.
Tarifs
:
8,50 €, 7,50 € (réduit), 6,50 € (abonnés)
www.institut-lumiere.org
25 rue du Premier-Film - 69008 Lyon 04 78 78 18 95 - Métro D
8,50 €, 7,50 € (réduit), 6,50 € (abonnés)
www.institut-lumiere.org
25 rue du Premier-Film - 69008 Lyon 04 78 78 18 95 - Métro D
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